Maladies – Interaction dans le corps
Vessie
Estomac - Duodénum
Rectum - Anus
Bronches
Cœur
Veines coronaires
Peau
Obésité
Foi
Jambes
Ovaires - testicules
Sein gauche/droite
Utérus
Ligaments - tendons
Os – Moelle – Rhumatologie
Tissus – Articulation – Ostéoporose
Sclérose en plaque
Genoux (je/nous)
Poumon + manquer d’air = Asthme
Digestif
Digestif
Prostate / Utérus
Yeux
Diabète
ORL – surtout nez + respiration
Conflits De territoire :
- Organisation
- Contrariété
- Pas sa place
- Espace
- Envahi, attaqué
- Perte de territoire sexuel, absence de relation
- Conflits de séparation
- D’abandon
- De manque
- De direction
- De perte (d’un enfant ou d’un être cher)
- De nid (enfant - mari)
De dévalorisation :
- Ne pas pouvoir être enceinte
- Activités sportives (entorse au règlement)
- Générale
- Par geste
- Mis de côté, chute brutale
De Rejet, se plier, s’incliner
Peur de la mort
De ne pas pouvoir attraper, digérer ou avaler, exprimer
Rancœur, colère, injustice, rage
De ne pas être dans la norme (sexuelle ou familiale)
Peur frontale, du présent, du futur
De Résistance
De Puanteur
Maladies – Interaction dans le corps
Vessie
Estomac - Duodénum
Rectum - Anus
Bronches
Cœur
Veines coronaires
Peau
Obésité
Foi
Jambes
Ovaires - testicules
Sein gauche/droite
Utérus
Ligaments - tendons
Os – Moelle – Rhumatologie
Tissus – Articulation – Ostéoporose
Sclérose en plaque
Genoux (je/nous)
Poumon + manquer d’air = Asthme
Digestif
Digestif
Prostate / Utérus
Yeux
Diabète
ORL – surtout nez + respiration
Conflits De territoire :
- Organisation
- Contrariété
- Pas sa place
- Espace
- Envahi, attaqué
- Perte de territoire sexuel, absence de relation
- Conflits de séparation
- D’abandon
- De manque
- De direction
- De perte (d’un enfant ou d’un être cher)
- De nid (enfant - mari)
De dévalorisation :
- Ne pas pouvoir être enceinte
- Activités sportives (entorse au règlement)
- Générale
- Par geste
- Mis de côté, chute brutale
De Rejet, se plier, s’incliner
Peur de la mort
De ne pas pouvoir attraper, digérer ou avaler, exprimer
Rancœur, colère, injustice, rage
De ne pas être dans la norme (sexuelle ou familiale)
Peur frontale, du présent, du futur
De Résistance
De Puanteur
S
Démystification
Démystification
L’hypnose est un état modifié de conscience.
Vous l’êtes continuellement dans la vie au quotidien lorsque vous êtes dans vos pensées, lorsque vous faites appels à un souvenir, lorsque vous êtes dans l’imaginaire.
Dès que vous n’êtes pas dans le présent, vous êtes déjà en « auto-hypnose ».
Mais qu’est-ce que cela veut-il dire exactement, et quel rapport alors avec l’hypnose que l’on nous montre en spectacle ?
Fonctionnement
Cerveau gauche (raisonnement logique, rationnel) et le cerveau droit (émotionnel, intuitif et créatif),
Notre cerveau est divisé en deux parties : (hémisphère gauche/droite) :
La gauche agit sur la partie droite du corps dans la logique et le rationnel
La droite agit sur la partie gauche du corps dans l’émotionnel, intuitif et créatif.
(et inversement s’il s’agit d’un gaucher)
Nous parlons alors de « conscient et inconscient ».
Notre cerveau, de la naissance jusque vers 4-5 est une parfaite éponge ou un « disque » vierge, prêt à collecter toutes les informations pour les stocker dans notre « subconscient ou inconscient »
Entre 5-9 ans il commence à introduire la partie rationnel et analytique pour traiter les informations qui ont été collectées aux préalables.
Pourquoi parle-t-on de l’inconscience des enfants, de leur insouciance ? Parce que la raison (conscience) n’existe pas à cet âge là. Pour cette raison, le cerveau n’est pas encore configuré à trier, à analyser, à raisonner.
Donc, arrêtons de dire à nos petits qu’ils doivent comprendre, car ils ne le peuvent tout simplement pas, ils ne sont pas « configurés » pour raisonner.
C’est seulement entre 13 et 16 ans, à l’âge de l’adolescence que le cerveau se divise pour devenir « mature » et pour commencer à discerner et à faire la distinction. (D’où toute la problèmatique de l’âge « bête » à faire entrevoir la raison et le discernement à des novices…)
Imaginez toujours un ordinateur pour comprendre plus aisément :
Vous installez par exemple un programme « word » ou tout autre outil. Celui-ci est installé sur le disque de manière fixe (dans le subconscient). Tout apport de texte, de tableau, d’image ou autres sur le document nécessite un enregistrement supplémentaire pour que les informations soient prises en comptes (c’est la partie consciente) que l’on pourrait comparer aux valeurs et croyances et expériences de nos vies qui sont nos valeurs ajoutées.
Souvenez-vous, il vous est certainement arrivé de modifier, créer, améliorer… tout un document et d’oublier de le sauvegarder ? On se traite alors de tous les noms « d’oiseaux »
Les jeunes adolescents ne sont-ils pas un peu pareils avec toutes les informations, les modifications, les bouleversements amenés à leur vie (la raison = conscience) ? Ces fameux novices oublient souvent d’enregistrer les modifications apportées, ce qui nous amène à les considérer dans l’âge « bête »
Explications - Exemples
Observez les enfants dès leur plus jeune âge. Ils prennent tout, ils copient tout, ils impriment tout ce que vous leur apprenez, tout ce que vous leur montrez. Ils sont comme une éponge sèche qui absorbe toutes les informations.
Ce que vous ne savez pas, c’est que vous vous adressez à eux comme s’ils étaient sous hypnose, car vous vous adressez justement à leur subconscient/inconscient encore vierge et non formaté.
Exemple :
Si vous demandez à un enfant de 4 ans de sauter sur un pied dans tout l’appartement, que fera-t-il ? Il le fera ni plus ni moins sans se questionner sur la validité de la demande.
Etat hypnotique
Nous voici donc au creux du sujet.
Nous mettons donc les patients dans cet état de conscience modifiée par la relaxation et la détente et obtenons ainsi cet état où la conscience (chez l’adulte) est mise en veille, comme l'inconscience chez l’enfant.
Cela ne veut pas dire que vous êtes endormis ou que vous ne comprenez pas ce qui vous est demandé.
Rappelez-vous l’enfant, il est « conscient » (éveillé) lorsque vous lui parlez et que vous lui demandez de sauter, mais c’est son subconscient/inconscient qui est activé et qui va le faire s’exécuter.
S’il est demandé à un adulte sous hypnose de faire telle ou telle chose, dans ce contexte il le fera également. Pour lui, cette information est possible car admise dans les valeurs et croyance qu’il a acquises. Qu’y a-t-il de mal à sauter sur un pieds ?
Pour schématiser, on peut dire :
(Adulte sous hypnose = enfant)
Exemple :
Demandez à un exhibitionniste sous hypnose de se dévêtir pendant une séance. Il le fera. (Cela fait partie de lui et il ne voit pas où est le problème)
Or, demandez à une personne qui ne l’est pas de faire pareil.
Elle ne le fera pas. (Cela ne fait pas partie d’elle et cette information ne va pas être exécutée.)
Il est important de comprendre que nous avons acquis un certain nombre de valeur et de croyance dans notre éducation, notre société et notre vie (déjà bien gravé ou ancré dans notre subconscient/inconscient) pour accepter ou non une induction qui nous est énoncée et qui n’est pas en accord avec nos principes.
Plus vous énoncerez une induction « possible » et en accord avec le « fort » intérieur de votre sujet, plus l’induction aura son impacte.
Hypnose thérapeutique
En quoi consiste la thérapie par l’hypnose ?
Comme nous l’avons vu précédemment, nous avons été programmé et ainsi formaté par divers facteurs et expériences positives et négatives dans notre vie.
Par notre
-
Histoire
-
Education
-
Projet de sens (ressenti de la mère avant et après la conception de l’enfant)
-
Généalogie
Et avons pu vivre des chocs ou des émotions plus ou moins violents, qu’ils soient :
-
Réelles
-
Virtuelles
-
Symboliques
-
Imaginaires
C’est dans cet espace temps, dans ces différentes phases de nos vies, que se gravent les informations et les programmes des conflits que nous avons reçus.
Il faut savoir qu’un conflit s’ancre dans le mental par un choc ou une émotion qui est vécu dans l’isolement et sans possibilité de l’exprimer. (le conscient n’est plus là pour faire barrière et laisse passer l’émotion directement dans le subconscient)
Imaginez le soldat avec son armure et son bouclier : s’il est surpris, il n’a pas le temps d’utiliser son bouclier et sera touché. (Le bouclier étant la conscience…)
Des dispositifs de cellules psychologiques mis en places lors de drames, permettent aujourd’hui aux victimes de se libérer des images chocs et ainsi d’éviter des conflits ultérieurs.
Sans support psychologique, la maladie (mal à dit) peut se développer alors dans un organe ou une partie du corps correspondant exactement à une série de conflit type répertoriée.
Le conflit déclenchant et programmant.
De quelle manière cela fonctionne-t-il.
Il y a toujours un « bon sens » à un conflit.
Au cours de notre vie, nous avons pu développer un conflit déclenchant (à 40 ans) qui a été précédemment généré par un conflit (souvent occulte) programmant (4 ans) dans les diverses phases que nous avons énoncées plus haut.
Ces conflits déclenchements sont des dispositifs « sonnettes d’alarme » (bon sens) qui vont nous permettre de nous y arrêter pour y porter l’attention nécessaire à sa résolution et à sa libération.
Le mental peut emmagasiner une quantité d’informations, de chocs, d’émotions, toutefois, comme un central électrique, il sature lorsqu’il y a surcharge et c’est alors que les maladies surgissent de la même manière que les plombs disjonctent.
Le bon sens serait de dire que si les plombs ne sautent pas, c’est le court-circuit assuré avec les dégâts qui s’en suivent.
Par ailleurs, et paradoxalement, ces indications (maladie ou les plombs qui sautent) ont un bon sens pour la personne qui en souffre, puisqu’elles contribuent à aller prendre conscience, à comprendre et à déceler les causes par les symptômes.
Le processus consiste à prendre conscience de l’origine (conflit programmant) pour libérer le malaise ou la maladie. (conflit déclenchant)
-
« Tout ce qui n’est pas amené en conscience est vécu sous forme de destin »
-
« La Connaissance Libère, l’Amour Guéri. »